plongée

Immersion dans les écosystèmes côtiers de la mer de Cortés

Des baleines, des otaries, des requins, des orques, des tortues. Toute la mégafaune marine semble s’être donné rendez-vous entre la péninsule californienne et l’Amérique Centrale dans la mer de Cortés. Si les écosystèmes pélagiques semblent hypertrophiés, le milieu côtier n’est pas en reste avec des récifs coralliens qui côtoient des blocs de roches et des épaves. Les étendus sableuses de cette petite mer fusiforme ne sont pas non-plus désertes mais abrite au contraire une biodiversité foisonnante. Bienvenue sous la surface, bienvenue en mer de Cortés !

Tour d’horizon des films sous-marins

Cela fait maintenant plus de 50 ans que nous parviennent des images du monde marin. Pourtant, des œuvres récentes continuent de nous bousculer, jusqu’à allumer cette curiosité pour l’océan. Quelle est la recette de ces réalisateurs ? Est-ce qu’il y a une recette ? Nous allons tenter de répondre à ces questions en faisant un petit tour d’horizon des différents films parlant du monde subaquatique.

Ode naturaliste aux carrières belges submergées

Remplir avec de l’eau des carrières de pierres une fois que leur exploitation est terminée n’est pas nouveau. Cependant, les belges ont élevé cette pratique à un tel niveau qu’elles sont devenues la principale attraction subaquatique du pays. Sous l’eau il fait froid, il y a peu de lumière mais la biodiversité y est toujours très surprenante. Entre les espèces naturellement présentes, celles introduites volontairement et celles qui sont invasives, chacun de ces petits trous d’eau, dont la profondeur peu tout de même dépasser 50 m, constitue un véritable paradis pour les naturaliste. Et c’est sans compter sur la quantité ahurissantes d’objets, de véhicules et de statues immergées par les gérants des carrières.

Visite plongée de Plougastel, pépite sous-marine de la biodiversité bretonne

Si je vous dit « Plougastel », qu’est-ce que ce mot vous évoque ? Un des nombreux villages bretons commençant par Plou ? Les fraises ? Rien ? Pour moi, ce nom évoque mon site de plongée préféré de Bretagne. Quand je dis préféré, je ne plaisante pas ! En 2 ans, j’ai passé presque 48 heures sous l’eau à cet endroit en… 44 plongées. Pourtant, lorsqu’on arrive sur la plage pour se mettre à l’eau, ce n’est pas l’endroit le plus paradisiaque : pas de sable fin, pas de palmier ou de paysage à couper le souffle, non juste une plage banale. Mais c’est sous la surface que se cache le trésor de ce site.

A l’Ouest, il y a la rade

La Bretagne est une région de France où la mer et la terre se rencontrent. Sa forme évoque un bras tendu avec, à son extrémité, des doigts entre lesquels coule l’eau salée de l’océan. Au creux de la main se trouve la rade de Brest, une baie semi fermée où se mêlent à l’océan atlantique l’eau douce continentale crachée par l’Aulne et l’Elorn. De puissantes vagues, formées en haute mer par des vents qui ne rencontrent aucun obstacle, viennent s’écraser sur les doigts solides fait de granit et dont les parois verticales plongent dans les profondeurs. La Bretagne est une région sauvage, austère pour certains où les hommes se sont installés malgré la vigueur des éléments. Cependant, lorsqu’on met la tête sous l’eau, on découvre un monde insoupçonné, d’une richesse incomparable, foisonnant de vie et de couleurs. Franchissons la frontière liquide de la surface, ouvrons bien les yeux protégés par un masque. Bienvenu dans la rade de Brest !