Loup ou bar ?
Loup ou bar ? Deux nom pour la même espèce : Dicentrarchus labrax. Cela dépend si vous êtes en Méditerranée ou en Atlantique. Mais qu’en est-il d’un point de vue génétique ?
Loup ou bar ? Deux nom pour la même espèce : Dicentrarchus labrax. Cela dépend si vous êtes en Méditerranée ou en Atlantique. Mais qu’en est-il d’un point de vue génétique ?
Le manga culte One Piece d’Eiichiro narre les aventures de Luffy le pirate depuis maintenant plus de 25 ans. Cette série qui mêle humour loufoque et épisodes tragiques est un fabuleux prétexte pour laisser libre cours à l’imagination de son auteur pour décrire la vie marine d’un océan imaginaire. Si de nombreuses créatures sont pure invention, la plupart de la biodiversité de ce manga est fortement inspirée des espèces réelles qui peuplent les océans de notre planète. Embarquez donc avec moi à bord du Vogue Merry et du Thousand Sunny pour explorer la « Route de tous les périls » et découvrir le monde marin fabuleux de One Piece avec l’œil scientifique d’un océanologue !
Que se cache-t-il dans les feuilles denses des herbiers de posidonie ? Réponse : tout une biodiversité étonnante pour laquelle ces quelques dizaines de centimètres carrés de feuille sont tout un monde. Voici quelques photographies pour découvrir une infime partie de cette richesse du Vivant inféodée à la plante marine endémique de Méditerranée.
L’océan et les services rendus par ses écosystèmes constituent un patrimoine naturel exceptionnel. Il absorbe la chaleur excédentaire de la planète, une partie de nos émissions de gaz à effet de serre, soutient de nombreuses économies, produit plus de la moitié de l’oxygène de l’atmosphère et régule le climat global. En revanche, ces capacités sont affectées par les pressions humaines sur l’océan. C’est pour cette raison que les aires marines protégées ont été créées, afin de limiter la surpêche, les exploitations destructrices de ressources, la pollution excessive et la disparition d’habitats. Véritables sanctuaires, ces zones préservent l’étonnante vie marine, garantissent la subsistance de la pêche, stimulent l’économie locale et permettent aux touristes de découvrir des trésors de biodiversité préservée.
Remplir avec de l’eau des carrières de pierres une fois que leur exploitation est terminée n’est pas nouveau. Cependant, les belges ont élevé cette pratique à un tel niveau qu’elles sont devenues la principale attraction subaquatique du pays. Sous l’eau il fait froid, il y a peu de lumière mais la biodiversité y est toujours très surprenante. Entre les espèces naturellement présentes, celles introduites volontairement et celles qui sont invasives, chacun de ces petits trous d’eau, dont la profondeur peu tout de même dépasser 50 m, constitue un véritable paradis pour les naturaliste. Et c’est sans compter sur la quantité ahurissantes d’objets, de véhicules et de statues immergées par les gérants des carrières.
Si je vous dit « Plougastel », qu’est-ce que ce mot vous évoque ? Un des nombreux villages bretons commençant par Plou ? Les fraises ? Rien ? Pour moi, ce nom évoque mon site de plongée préféré de Bretagne. Quand je dis préféré, je ne plaisante pas ! En 2 ans, j’ai passé presque 48 heures sous l’eau à cet endroit en… 44 plongées. Pourtant, lorsqu’on arrive sur la plage pour se mettre à l’eau, ce n’est pas l’endroit le plus paradisiaque : pas de sable fin, pas de palmier ou de paysage à couper le souffle, non juste une plage banale. Mais c’est sous la surface que se cache le trésor de ce site.
Bienvenue dans la mangrove de Guadeloupe pour une excursion sous-marine enchanteresse au milieu des racines de palétuviers ! La richesse de la biodiversité y est frappante et l’on comprend ainsi rapidement l’importance écologique primordiale de cet habitat. Malheureusement cet environnement idyllique est menacé par nos activités dont les impacts sont clairement visibles.