Epaves
Des millions d’épaves Trois millions. C’est le nombre d’épaves de bateaux se trouvant au fond
Des millions d’épaves Trois millions. C’est le nombre d’épaves de bateaux se trouvant au fond
Les zostères sont des plantes marines qui forment de vastes herbiers sur les côtes de l’Atlantique et dans les lagunes de Méditerranée. Leur feuillage abrite une riche biodiversité. Les herbiers de zostère nous rendent également de nombreux services comme la séquestration du carbone atmosphérique et la protection du littoral.
Une sensibilisation à la beauté des paysages littoraux du nord de la France et aux moyens réglementaires pour préserver le milieu marin.
La Méditerranée est vraiment une mer à part ! Berceau historique de nombreuses sociétés humaines. Carrefour millénaire du commerce maritime. Haut lieu du tourisme mondial. Un assemblage d’écosystèmes marins si particuliers. Une zone géographique mise à l’épreuve par l’impact de nos activités sur l’environnement. Voici quelques faits marquants qui traduisent ces spécificités.
Un bref bilan sur les récifs coralliens de Guadeloupe et les menaces qui pèsent sur leur avenir. Les phénomènes de blanchissement notamment se succèdent depuis une trentaine d’années.
Retour sur l’importance écologique des mangrove et leur protection contre l’impact des activités humaines à l’occasion de la journée mondiale pour la conservation de l’écosystème des mangroves.
Il y a une trentaine d’années, le premier échouage important de cétacés était rapporté sur le littoral français. Depuis, de tels épisodes ont été recensés de plus en plus fréquemment et parfois accompagnés d’une mortalité inquiétante. Le dauphin commun, Delphinus delphis, est l’espèce la plus représentée dans ces échouages avec une majorité d’individus présentant des traces sur le corps potentiellement causées par les filets lors d’une capture accidentelle. Ce petit cétacé est le plus abondant le long de la façade atlantique française, mais également le plus exposé aux interactions avec les pêcheries. Depuis la fin des années 1990, les captures accidentelles de cette espèce ont majoritairement été associées à la pêche au chalut pélagique en hiver dans la zone du golfe de Gascogne. Bien que cette problématique soit de plus en plus étudiée par les scientifiques, il reste encore des zones d’ombre pour comprendre l’intégralité des interactions entre l’activité de pêche et les petits cétacés au sein de nos eaux. Le sujet confronte également l’important secteur économique que représente la pêche avec la conservation d’une espèce emblématique pour le public, menant à la mise en place de mesures de gestion à l’échelle européenne et nationale.